Pourtant l'article commençait bien et était à la gloire du chanteur de 40 ans, le désignant comme "excellent dans le rôle du chevalier servant tendre et décadent" en référence à ses collaborations avec Carla Bruni et Vanessa Paradis. Mais le drame s'est produit lorsque la journaliste a dit que le musicien "usait de tambourins folk", alors qu'il s'agissait de maracas et shaker. Le sang du dirty dandy n'a fait qu'un tour ! A l'aide du réseau social Twitter, il a pu déverser sa colère en écrivant : "Chère V.folcoche mortaigne, je pensais qu'après 37 ans de boutique vous arriviez enfin à reconnaître un tambourin ! Même pas !!! #maracas" L'utilisation des points d'exclamation semble assez explicite sur le ton qu'a voulu employer le chanteur ! Ajoutant, non sans dédain : "merci pour le tuyau j'en mettrai partout", en parlant des tambourins.

S'en est suivi une attaque par tweets interposés, certains venant d'internautes disant qu'il "allait falloir apprendre à entendre autre chose que des louanges", ce à quoi le chanteur a riposté : "Lâchez moi avant que je ne vitupère de nouveau comme un petit coq imbu bobo de la gauche caviar". Puis une réponse de la journaliste elle-même : "Le tambourin c'était un compliment, mais il est vrai que 64 ans de susceptibilité bête ça use même les meilleurs chanteurs".

Mais rassurez-vous, l'affaire se finit bien suite à un dernier tweet de Véronique Mortaigne indiquant : ""Je l'aime bien BB, sincèrement. Je suis d'accord avec tout ce qu'il dit.". Et on sait que malgré sa susceptibilité, Benjamin Biolay sait s'engager pour la bonne cause, notamment pour la journée de la femme !

H.F-G