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The Amazing Spider-Man : le prequel, une sale manie hollywoodienne ?

Spider-Man revient tisser sa toile sur les écrans (le jeu de mot était facile pardon). Un prequel où l'homme araignée (Andrew Garfield) revient à sa forme presque originelle sous son bon vieux pseudo "The Amazing Spider-Man", nom du comic du maître du genre Stan Lee. Bye bye Mary Jane, c'est Emma Stone qui prend le relais avec le personnage de Gwen Stacy.

Une curiosité cinématographique 10 ans après un premier épisode signé Sam Raimi que personne n'a oublié et qui raconte dans les faits le même début. Quand les studios nous prennent pour des chèvres... L'histoire est donc la même, 3D en plus, genèse connue de tous depuis que les super-héros sont devenus le fond de commerce semble-t-il inépuisable du cinéma américain (n'est-ce pas les Avengers ?)

Un reboot dont la critique se fait déjà largement l'écho de ses faiblesses et qui pose la question de sa légitimité (qu'on trouve finalement dans celle de rapporter gros à ses producteurs). Et qui pose celle de tous les prequels, nouvelle manne des studios en mal d'inspiration.

Si l'inclination au reboot n'est pas nouvelle (George Lucas avait imaginé sa saga "Star Wars" sous cette forme fin 70), la peur des échecs commerciaux et la frilosité des studios devant des scénarios neufs font de ses introductions à l'histoire le nouveau terrain de jeu favori des décideurs hollywoodiens qui sont presque assurés d'amasser les billets verts.

Des réalisations qui s'en vont fouiller les prémices, les origines ou le commencement (sous-titres insupportables de la moitié des films en français) d'héros ou anti-héros entrés dans l'imaginaire collectif, qui misent sur l'exploitation et le succès des précédents numéros pour asseoir leur crédibilité et sur laquelle repose presque entièrement la promotion. D'où les déceptions malheureusement répandues.

Vraies réussites, plantages en bonne et due forme ou objets hybrides entre héritage et nouveautés, découvrez 10 prequels qui ont fait ou pas les belles heures du film d'avant le film.

Caroline Lazard

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