
C'est une nouvelle polémique qui éclate pour Valérie Trierweiler. L'ex-Première dame qui apparait en couverture du magazine japonais Richesse a de nouveau perdu, comme par magie, dix ans. La Toile crie déjà à l'abus de Photoshop.
Et c'est reparti pour un tour ! Valérie Trierweiler qui a été, à nouveau, choisi pour faire la une du magazine japonais Richesse est pointée du doigt pour un abus de Photoshop. Il faut dire qu'à voir l'ex-Première dame en couverture, elle semble avoir dix ans de moins. Ça deviendrait presque une habitude.
Valérie Trierweiler, photoshopée une deuxième fois
Une première fois métamorphosée en couverture de Richesse, il y a quelques mois, Valérie Trierweiler rajeunit une seconde fois pour le magazine japonais qui, il semblerait, a la main lourde sur les retouches. Qu'à cela ne tienne la journaliste et femme engagée apparait le teint très lissé, mais rayonnante pour cette édition qui s'intitule : "La renaissance de Valérie". Un titre plus que positif.
Dans la première image de ce prochain numéro dévoilé sur Instagram on découvre celle qui est "passée à autre chose" depuis sa séparation avec le président François Hollande, le regard au loin, grand sourire aux lèvres, se tournant symboliquement vers l'avenir. Même si elle n'a pas attendu ce numéro de Richesse pour le faire.
Si à l'époque du premier bad buzz concernant un abus de Photoshop, la journaliste avait balayé les accusations d'un revers de main (et avec un tweet piquant), il en sera sûrement de même cette fois.
D'ailleurs, Valérie Trierweiler a bien d'autres choses en tête. Comme, par exemple, soutenir ces Djiboutiennes qui ont décidé de faire une grève de la faim, en France, pour dénoncer les viols dans leur pays. Un geste fort qui émeut la reporter qui soutient activement le mouvement sur Twitter.
Celle qui est engagée dans l'humanitaire et qui soutenait avec force le mouvement "Bring Back Our Girls" à bien mieux à penser que ce que l'on dit d'elle.