Valérie Trierweiler est actuellement en Une de Paris Match où elle se confie sur sa rupture difficile avec François Hollande. Celle qui n'est officiellement plus Première dame et qui était récemment en Inde a également accordé une interview à coeur ouvert au Parisien. Retour sur les propos forts de Valérie Trierweiler.

Une rupture violente

"Cela peut paraître étrange, mais, pour moi, je ne traverse pas une période de crise. Ce n'est pas la première rupture dans ma vie. Elle est violente, car elle est médiatique" affirme Valérie Trierweiler à Paris Match. La jolie brune se décrit également au Parisien comme une "femme libre, célibataire pour la première fois en trente ans". Elle ajoute "Je n'aimais pas les ors de l'Élysée. L'Inde, c'est un retour vers la liberté, loin du monde politique et de ses trahisons. Moi, j'assume ce que je suis, ce que je dis. On ne peut pas dire que je n'ai rien fait de bien en dix-neuf mois".

"La politique est un monde où la trahison est payante"

Pour le Paris Match, Valérie Trierweiler n'a pas eu peur d'affirmer qu'elle a cru "tomber d'un gratte-ciel" quand elle a appris la vérité. Mais aujourd'hui, elle est prête a tourner la page et ajoute : "Ce n'est pas parce qu'on est plus Première dame que la vie s'arrête". Celle qui affirmait récemment que le pouvoir avait probablement fait basculer son couple n'a pas eu peur de dire que "La politique est un monde où la trahison est payante, et ce ne sont pas mes valeurs". Après des mots amers pour ses premières déclarations officielles, Valérie Treirweiler semble beaucoup plus sereine désormais.

Et aujourd'hui, c'est une page qui se tourne : "Je ne regrette rien. Ce que j'ai vécu a été une séquence de vie extraordinaire qui m'a amenée à autre chose. Je vais reprendre ma vie d'avant mais elle sera enrichie d'une expérience nouvelle".

Deux interviews à retrouver en entier dans le Parisien et dans Paris Match.