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Tristane Banon revient sur l'affaire DSK : "Pour moi, il est mort"

L'actualité de Tristane Banon est assez riche. Alors qu'elle publie "Love et Cætera", la jeune femme de 35 ans est également enceinte. Dans le magazine Voici, cette journaliste et chroniqueuse revient sur un épisode douloureux qu'elle a dû revivre il y a quatre ans : l'affaire Dominique Strauss-Kahn.

Dans une récente interview accordée au magazine Gala, Tristane Banon faisait éclater au grand jour son bonheur retrouvé avec l'ancien footballeur du PSG Pierre Ducrocq, et la future naissance de leur enfant. Elle y évoquait également un "autre bébé" : son livre "Love et Caetera", un recueil de ses chroniques sur France Bleu. Mais lorsque l'on parle de cette jeune femme, on se souvient aussi de l'un des scandales qui a défrayé la chronique il y a quatre ans : l'affaire Tristane Banon et DSK.

"Pour moi, Dominique Strauss-Kahn est mort"

Et c'est dans le magazine Voici que la future maman est revenue sur cette sordide affaire. C'était le 15 mai 2011, lorsque Dominique Strauss-Kahn était accusé d'agression sexuelle aux États-Unis. Au même moment, la tentative de viol de l'homme politique et ex-mari d'Anne Sinclair sur Tristane Banon quelques années plus tôt revient comme un boomerang sur la place publique (suite aux révélations d'Anne Mansouret, mère de la journaliste et chroniqueuse). En octobre de cette même année, cette histoire est classée sans suite. Pour cette femme de 35 ans lorsque l'on parle de Dominique Strauss-Kahn, on évoque un homme "mort". Elle explique à Voici que : "Pour moi, on parle de quelqu'un qui est mort ! DSK est mort le 15 mai 2011."

"Il faut des couilles pour n'avoir rien à foutre de ce que pensent les autres"

Elle revient également sur la période douloureuse qu'elle a dû affronter en 2011 : "J'ai trop souvent eu peur. Entre 2011 et aujourd'hui, j'ai tellement craint que des gens puissent penser que ma plainte contre Dominique Strauss-Khan était un coup de pub, que je me suis mise en retrait. C'était une erreur. Mais je n'avais plus la force d'être jugée. C'est bizarre de le dire au sujet de la condition féminine, mais il faut des couilles pour n'en avoir rien à foutre de ce que pensent les autres. Sans doute n'en ai-je pas eu assez à ce moment-là."

Découvrez l'intégralité de l'interview de Tristane Banon dans le Voici n°1427, actuellement dans les kiosques.
"Love et Caetera" de Tristane Banon aux éditions l'Archipel, actuellement en vente.

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