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Stéphane Bern marqué par son enfance : sa mère, ce ''bourreau'' qu'il a adoré

Dans le dernier numéro de "Parenthèse inattendue", Stéphane Bern est revenu sur son enfance, une enfance où les marques d'affections se méritaient. Une enfance très stricte mais qui, selon lui, a fait de lui la personne qu'il est aujourd’hui.

Hier soir, mercredi 9 avril 2014, Stéphane Bern était l'un des invités du dernier numéro de "Parenthèse inattendue" présentée par l'animateur Frédéric Lopez sur France 2. Aux côtés de Chico Bouchikhi (ex leader et fondateur des Gipsy Kings) et de l'actrice française Sylvie Testud, qui est notamment revenue sur sa mésaventure aux César de 2001, l'un des plus célèbres journalistes et présentateurs de la télé s'est confié sur son enfance.

Une enfance qui n'a pas été des plus extraordinaires ni des plus "féeriques" puisque Stéphane Bern confie avoir reçu une éducation très stricte : "On a eu une éducation un peu prussienne. Ça veut dire qu'on ne parle pas à table avant qu'on nous adresse la parole. On ne répond pas à ses parents. Moi qui étais très insolent, mais vraiment insolent, je voyais tout de suite ce qui allait énerver. Je me moquais, je dévissais les nerfs. J'étais très difficile à contraindre." Il ajoute : "On attendait de moi que je sois un soldat, un bon petit soldat. Tout se méritait. Tous les jours, on nous notait notre conduite, et l'argent de poche était indexé sur les notes de conduite. Moi je devais de l'argent à mes parents !"

Sous les regards compatissants de Frédéric Lopez, Sylvie Testud et Chico Bouchikhi, tous captivés par son récit, le spécialiste français de la royauté que l'on imagine plutôt discret et à mille lieux d'être ce petit garçon insolent qu'il décrit, en vient à parler de son frère. Un frère presque si parfait, qu'il "débordait de sous". Il ajoute qu'"il était mignon, il était beau il avait tout pour lui. Et puis il disait oui maman, oui papa. Mes parents disait que j'avais déjà une tête à claques. Et je les recevais surtout, et ça fait la différence."

Si dur soit le récit de son enfance, celui qui nous fait rêver avec ses documentaires consacrés aux plus grandes familles royales explique que la personne qu'il est devenue aujourd'hui est en partie grâce à sa mère : "Ce n'est pas que ma famille ne me plaisais pas, je dis toujours que j'ai adoré mon bourreau, mais en même temps, je suis tellement reconnaissant à ma mère parce que ce que je suis, c'est grâce à elle. Je l'ai pas vu sur le moment, je vous jure sur le moment j'avais des envies de partir, des envies d'être ailleurs, d'être dans une autre famille. Mais aujourd'hui, je suis à l'aise partout, si je me sens bien dans ma peau, c'est grâce à eux parce qu'ils m'ont donné cette capacité de me trouver, de ne dépendre que de moi-même."

Avant de terminer en concluant que cette vie, il en a rêvé un nombre incalculable de fois : "Chaque fois ce qui m'est arrivé dans la vie, je l'ai rêvé. Parce que quand vous êtes le petit garçon que tout le monde prend pour un débile, vous rêvez votre vie tellement fort dans votre tête, que ça ne peut qu'arriver. Et moi, tout ce qui m'est arrivé dans la vie, je l'ai rêvé d'abord."

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