
Depuis qu'elle a décroché une place de chroniqueuse dans l'émission de Laurence Ferrari, "Le Grand 8" (D8), Roselyne Bachelot se lâche. Lapsus, allusions et petits jeux de mots un brin lubrique rythment le show et cette semaine, l'ancienne ministre est allée un peu plus loin en se mettant aux dessins coquins.
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Ce qu'il y a de bien avec l'ancienne ministre de la Santé et des Sports reconvertie en chroniqueuse sur D8 c'est qu'on ne s'ennuie jamais. Ayant incontestablement décroché le rôle de la "lubrique" de service autour de la table du "Grand 8" présenté par Laurence Ferrari, Roselyne Bachelot se lâche dès qu'elle en a l'occasion se retrouvant ainsi bien souvent à l'origine de petits moments d'anthologie télévisuelle. Cette semaine, elle a encore fait de siennes mais pour sa défense, on lui a tendu la perche.
Tout avait pourtant commencé plutôt normalement ce jour-là jusqu'au segment "Nos Amis Les Hommes" de Magalie Bertin. Après la diffusion d'une vidéo où on demande à des jeunes femmes de dessiner le "pénis idéal", les chroniqueuses assises au tour de la table sont invitées à faire de même et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elles n'ont pas toutes la même vision de la chose.
"Le gros touffu, le p'tit joufflu..."
Fidèle à ses habitudes, la reine des phrases cul(tes) semble être amatrice de modèles plutôt impressionnants puisqu'elle n'hésite pas à ajouter des points de suspensions à son dessin déjà d'une taille plus que raisonnable. Gourmande et cash donc, Roselyne Bachelot est à 360 degrés de la vision qu'en a la jolie Elisabeth Bost qui préfère dessiner un coeur et se justifier en disant "un pénis n'est rien sans amour" et en citant Obispo "l'important c'est d'aimer". Hapsatou Sy elle, mixe les deux visions. Et oui on ne le répètera jamais assez, il n'y a pas que la taille qui compte, on en a une nouvelle fois la preuve.