
Romy Schneider a eu une liaison avec Jacques Dutronc. Voilà le scoop du magazine Vanity Fair français cette semaine. Une bombe révélée par le chanteur lui-même.
Dans son numéro de février 2014, Vanity Fair revient sur l'actrice Romy Schneider. En couverture mais également à l'honneur dans un dossier d'une dizaine de pages, Romy affiche sa grâce et sa beauté insolente. Outre les sublimes photos d'archives, le mensuel revient tout particulièrement sur les hommes de la vie de Romy, d'Alain Delon à Jacques Dutronc, sur "les passions de l'actrice disparue trop tôt".
Une folle passion, voilà ce qu'a vécue le chanteur Jacques Dutronc avec la belle Romy. Une histoire d'amour volontairement laissée dans l'ombre par le compagnon et futur mari de Françoise Hardy. Une histoire d'amour débutée sur le tournage du film L'important c'est d'aimer, en 1974.
Interviewé par le rédacteur en chef du Vanity Fair Michel Denisot, Jacques Dutronc revient pour la première fois sur cette liaison secrète : "Romy était totalement sincère. Le film ne s'arrêtait pas après les prises. Elle aimait la personne qu'elle devait aimer dans le film. Elle vivait le film en dehors, donnait tout sans recevoir en retour. Une femme extraordinaire. Rien à voir avec les autres actrices, factices, pasteurisées ". Une déclaration d'amour puissante et sincère mais un homme qui restera avec sa première femme, Françoise : "À la fin du tournage, je n'ai pas été très honnête ; parce que Françoise, c'est Françoise, je n'allais pas la quitter pour Romy Schneider. C'était une femme blessée, et en tournant ce film-là, j'en ai blessé une autre : la mienne."
Une histoire que François Hardy avait raconté dans son livre Le désespoir des singes et autres bagatelles sorti en 2008. Mais jusque là, le chanteur-séducteur n'avait jamais pris la parole en public, peut-être encore trop touché par le charisme dégagé par Romy à l'époque : "Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi malheureux. Elle avait besoin d'être aimée. Je me suis mal comporté. Je me suis laissé embarquer dans une histoire avec elle. L'attirance était là. Mais je ne l'ai pas respectée. Elle avait une telle force... "