
Aussi élégante que moderne, cette coiffure de red carpet s'est imposée comme la tendance capillaire à suivre à Cannes. Décryptage.
La simplicité serait-elle le nouveau cool sur le tapis rouge de Cannes ? La tendance capillaire qui s'en dégage cette année pourrait le laisser penser. De Karlie Kloss à Katy Perry, en passant par la toute jeune Lottie Moss ("soeur de" Kate), la coiffure qui s'impose en 2016 est on ne peut plus simple à adopter : une raie au milieu et des cheveux plaqués de part et d'autre, de chaque côté du visage. Mais malgré sa simplicité d'exécution, cette mise en beauté est d'une sophistication indéniable. Rassemblée en chignon, la chevelure s'apparente joliment à celle d'une danseuse de ballet (avec toute l'élégance que cela implique). Cheveux lâchés et lissés, l'allure est glamour à l'extrême, presque sexy. La preuve que pour se faire remarquer sur le tapis rouge, il n'est pas forcément très utile de se prendre la tête. Un brushing très lisse, de la laque ou une touche de gel glossy pour la brillance, et en un coup de brosse, le tour est joué.
Le cheveu wavy en arrière-plan
Dans l'ombre du plaqué cette année, il y a bien une tendance qui résiste encore et toujours : la chevelure wavy. Mise en lumière par Blake Lively ou par Julia Roberts (qui a monté les marches de Cannes pour la première fois), cette coiffure a su se réinventer pour toujours rester ultra-féminine et moderne à la fois. En 2016, le twist est vintage avec des crans plus marqués, moins beach waves. A vous d'opter pour la version capillaire qui correspond le plus à votre caractère.
Retour en images sur la tendance cheveux de cette Quinzaine.
Pauline Arnal
- Leighton Meester
- Reese Witherspoon
- Keira Knightley
- Natalia Vodianova
- Drew Barrymore
- David Beckham
- Taylor Momsen
- Kate Bosworth
- Chloë Sevigny
- Irina Shayk
- Zooey Deschanel
- Hilary Swank
- Carey Mulligan
- Bradley Cooper
- Jessica Szohr
- Donatella Versace
- Molly Sims
- Jude Law
- Adam Levine
- Kristin Scott Thomas
- Jennifer Connelly
- Ed Westwick
- Chris Hemsworth
- Benjamin Millepied