
Dans la famille royale britannique, la dernière personne que l'on choisirait pour être caution mode, c'est sûrement le prince Charles. Et pourtant ! A l'occasion de ses soixante-dix ans, on se penche sur son style pour faire ressortir quatre pièces qu'on pourrait en fait lui piquer.
Quand on pense style et famille royale britannique, on songe Lady Di, Kate Middleton, Meghan Markle voire à la reine Elizabeth, si on aime les camaïeu de couleurs vives, ou Camilla si on est dans l'ambiance bibi et grosse choucroute.
Autant vous dire qu'on écume l'arbre généalogique en long, en large et en travers avant de songer au prince Charles, ni le plus charismatique ni le plus stylé membre de la royauté. Et pourtant, en y regardant de plus près, on peut trouver dans son vestiaire du parfait monarque anglais des éléments à lui piquer pour ajouter une "british touch" à nos looks.
Le kilt

S'il n'est pas fashion icon, Charles a toutefois toujours eu l'audace de pourtant la pièce la plus folle (et avouons-le notre préféré) du vestiaire britannique : le kilt. Mesdames, on adopte d'urgence une jupe en tartan pour cet hiver. Messieurs, on ne peut que vous encourager à essayer !
L'imprimé Prince de Galles

Quand on est véritablement le Prince de Galles, rien d'étonnant à ce qu'on porte l'imprimé du même nom. Ce dernier revient en force dans le vestiaire des it-girls : on file donc piquer son blazer à notre cher Charles.
La gavroche

Béret, gavroche, casquette militaire... Si on est loin des extravagances chapelières de sa Camilla, Charles et ses obligations militaires nous ont offert bon nombre de coiffes qui font toutes leur come-back en ce moment ! Avouons, c'est plus facile au quotidien qu'un bibi en plumes.
La veste utilitaire

Le point commun entre Charles à la pêche et Kim Kardashian existe, vous l'aurez lu ici ! Alors que les vêtements utilitaires et pratiques deviennent source d'inspiration pour créateur et fashionista en perdition, le look multipoches du prince parti titiller de la carpe nous inspire. Et si Charles était le père spirituel des hipsters ?
Clément Laré