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Patrick Bruel : zoom sur sept films qui ont marqué sa carrière au cinéma

Si Patrick Bruel suscite toujours autant d'émoi lors de ses concerts, il est également un très bon acteur. Pour ceux qui l'ignorent, son premier rôle au cinéma date de 1979 dans "Le coup de Sirocco" d'Alexandre Arcady, tandis que son premier succès musical n'arrive qu'en 1983 avec "Marre de cette nana-là". Retour sur les sept films qui ont marqué sa carrière cinématographique.




Grande gueule dans "Le Prénom"
Dans "Le Prénom", il campe le personnage de Vincent, un futur papa de quarante ans. Alors qu'il est invité à un dîner chez sa soeur et son beau-frère, et en attendant sa femme en retard, il répond aux différentes questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale. Mais, lorsqu'il dévoile le prénom de l'enfant, l'ambiance devient glaciale et électrique. Dans cette fidèle adaptation de la pièce de théâtre du même nom de Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, Patrick Bruel excelle. Il a même été nommé pour le César du Meilleur acteur en 2013.
Patrick Bruel dans le film "Le Prénom" d'Alexandre De La Patellière et de Matthieu Delaporte.



Professeur peace dans "P.R.O.F.S"
Film culte des années 80 réalisé par Patrick Schulmann, "P.R.O.F.S" raconte les péripéties de quatre amis professeurs dans un lycée, plus enclins à jouer aux cartes, faire des blagues, ou draguer que donner des cours. Le tout, sous le regard ébahi des élèves. Patrick Bruel, lui, campe le personnage de Frédéric Game, un jeune prof de français tout juste arrivé. Une comédie fraîche et drôle qui offre un rôle taillé sur mesure au jeune acteur.
Patrick Bruel dans "P.R.O.F.S." de Patrick Schulmann.



Barbu radical dans "El Lobo"
"El Lobo", film franco-espagnol de Miguel Courtois Paternina, revient sur l'histoire vraie de Mikel Lejarza surnommé "El Lobo" (campé par Eduardo Noriega), une taupe qui infiltre le mouvement terroriste ETA au début des années 70. Patrick Bruel, lui, interprète le personnage de Nelson, un dirigeant radical de l'ETA. Télérama dira même que "dans le rôle d'un cador barbu et trapu de la branche armée, Patrick Bruel est inattendu et convaincant."
Patrick Bruel dans le film "El Lobo".



Assoiffé de vengeance dans "K"
Dans "K", Patrick Bruel est Sam Bellamy, un jeune inspecteur de police ami avec Joseph Katz, un homme âgé et brocanteur juif rescapé d'Auschwitz. Un jour, un Allemand entre dans la brocante de Joseph. Ce dernier reconnaît l'ancien officier SS qui a massacré sa famille pendant la guerre : Rudi Guter. Il l'abat sous les yeux de Sam et des policiers qui accompagnaient Guter. Obligé d'amener son vieil ami au commissariat, Sam décide de le sauver en le confiant à son père qui doit partir en Israël. Malheureusement, les hommes de Guter retrouvent Katz et l'abattent.
Dans "K", on replonge dans la France des secrets de guerre, les pillages des oeuvres d'art ou encore la chasse aux nazis... Ce film est la quatrième collaboration entre Patrick Bruel et Alexander Arcady.
Patrick Bruel dans le film "K" d'Alexandre Arcady.



Flic sur les dents dans "L'union sacrée"
Avec "L'union sacrée" le réalisateur Alexandre Arcady aborde un sujet encore délicat aujourd'hui : les rapports entre juifs et arabes. À la fin des années 1980, Simon Atlan (Patrick Bruel), un jeune inspecteur de la brigade des stupéfiants doit travailler avec Karim Hamida (Richard Berry), lui aussi flic. Mais l'entente entre les deux hommes s'avère compliquée puisque le premier est juif pied-noir et le second d'origine arabe. Tous les deux ont pour mission de démanteler un réseau extrémiste musulman. L'association s'annonce compliquée...
Si ce film policier musclé n'a pas remporté l'unanimité, tous s'accordent pour dire qu'il s'agit tout de même d'un plaidoyer pour la tolérance.
Patrick Bruel dans "L'union sacrée"




Homme habité par un lourd secret dans "Un secret"
Avec "Un secret", Claude Miller fait voyager le spectateur dans le passé et le présent. Un espace-temps dans lequel on écoute François (campé par Mathieu Amalric) nous parler de ses parents : Tania (Cécile de France) et Maxime (Patrick Bruel). Mais ce jeune garçon découvre à 15 ans un lourd secret en rapport avec son identité. "Un secret" est l'histoire d'une famille juive où il est question d'amour, de trahisons et de secrets, le tout sur fond d'Occupation.
Pour le quotidien Métro, "Cécile de France et Patrick Bruel forment un beau couple cinématographique. Un couple très émouvant, à l'image du film", Le Parisien lui, ajoute que "Claude Miller a choisi d'habiller son affaire d'un casting ultra glamour où Bruel gagne, au passage, un très grand rôle."

Patrick Bruel dans "Un secret" de Claude Miller.



Avide de vengeance dans "La Maison assassinée"
En 1988, Patrick Bruel tourne "La Maison assassinée" de Georges Lautner qui, là encore, se déroule sur fond de guerre, celle de 14-18. Il interprète le personnage de Séraphin, un jeune homme qui de retour de la guerre, apprend que sa famille a été égorgée. Il se lance alors dans une quête de vengeance. Seulement, un inconnu le devance...
Alors âgé de 29 ans, Patrick Bruel est "extrêmement convaincant" diront certains. Ou encore qu'il offre "ici une magistrale prestation d'acteur". Alors que d'autres mettre en lumière "son jeu [qui] demandait alors à être dégrossi".
Patrick Bruel dans "La maison assassinée".
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