
C'est dans un tourbillon de superberies vestimentaires que Marc Jacobs a clos la Fashion Week new-yorkaise. Et pour le printemps 2018, il glisse dans la garde-robe de sa voyageuse rêvée des accessoires toujours plus dingues. Oserez-vous les adopter ?
C'est à la fois sixties, c'est à la fois sport, c'est à la fois disco : c'est un entremêlement de références qui lui sont chères que présente Marc Jacobs pour clôturer en beauté les collections new-yorkaises de l'été prochain. Entrechoquées et réinterprétés, ces inspirations du passé présentées sont un nouveau jour, semblant tant surréalistes qu'on ne sait plus bien si elles ont déjà existées. C'est dans cette garde-robe de voyageuse hors du temps que Marc Jacobs glisse des accessoires toujours plus dingues, pour le plus grand bonheur de ces clientes friandes d'excentricité ! Top 5.
Les sandales à poils

Les weird shoes ont encore de beaux jours devant elles. Mi-sport, mi-chic, totalement WTF, la sandale de randonnée Marc Jacobs se pare de poils pailletés. Plus recommandée pour arpenter la cinquième avenue que pour escalader le Mont-Blanc et à porter avec des chaussettes, évidemment.
Les Birk' bijoux

Qui stoppera la Birkenstock, passée de chaussures de touristes allemands à it-shoes en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "Louboutin" ? Chez Marc Jacobs, elles sont toujours plus mode, se parant de semelles street venant contraster avec la boucle bijoux.
La grosse banane

On vous l'avait prédit, c'est un fait : la banane est de retour. Et sur le podium, pas question de la cacher ! Plus proéminente que jamais, on l'arbore pour ceinturer sa veste.
Le sac en néoprène

Un sac à main n'ayant, de toute façon, jamais été assez gros pour contenir vos vies, Marc Jacobs propose de le troquer une bonne fois pour toute pour un sac de sport sans concession. En format XXL, on l'adopte en ville.
Le boa

Et quoi de mieux qu'un accessoire dont la seule utilité est d'être tellement extravagant qu'il devient indispensable pour ponctuer sa tenue ? Marc Jacobs réhabilite le boa, uniquement parce que pourquoi pas. On fond !
Clément Laré