
Victoria Bedos : retenez bien son nom. La soeur de Nicolas Bedos, qui commence à monter dans le cinéma français, a raconté dans "C à Vous" une anecdote particulièrement embarrassante pour son frère. On l'adore déjà.
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Nicolas Bedos doit maudire sa soeur à l'heure qu'il est. Victoria, nouveau talent du cinéma français, a profité des questions de "C à Vous" sur son frère pour balancer une anecdote d'adolescence particulièrement gênante. Et ce n'est pas tous les jours qu'on voit Nicolas Bedos mal à l'aise.
Nicolas Bedos, ado provocateur
Le goût de Nicolas Bedos pour la provoc' ne date pas d'hier. Le chroniqueur a commencé dès l'adolescence. Invité sur le plateau de "C à Vous" jeudi soir pour évoquer "L'art de la fugue", le célibataire endurci et très bon copain - voire plus ? - de Doria Tillier a dû s'expliquer après les propos de sa soeur Victoria rapportés pendant l'émission. "Quand j'invitais des copines à la maison, il arrivait parfois dans ma chambre et il faisait l'hélicoptère avec sa b*te", a raconté la jeune femme devant son frère médusé.
Sous le regard des journalistes présents autour de la table, Nicolas Bedos a forcément dû commenter cette anecdote : "Victoria, elle est pire que moi. Moi, je suis d'une impudeur un peu calculée, mais elle... Elle est d'une impudeur pas calculée ! On est l'échelon au-dessus. Donc elle va raconter toute sa vie, et toute la mienne au passage, aux médias. Il faut qu'elle aille faire un cours de pudeur !". Avant d'ajouter, non sans humour, au sujet de son comportement de l'époque : "À 14 ans, je partais un peu en vrille. C'était comme mes soeurs, toutes les deux. J'ai dû faire ça, quoi ? Une quinzaine de fois !".
Un grand tourmenté
Nicolas Bedos a vécu une adolescence difficile. Dans les pages du magazine Psychologies, il évoquait récemment ses troubles du comportement. "Ça a commencé vers 12 ans, ça m'a rendu la vie impossible à partir de 16 ans. Je portais des gants en classe, je me lavais cinq fois par jour, je désinfectais mon bureau, je ne supportais pas le contact des corps, je comptais tout trois fois..." D'où, peut-être la manie de faire l'hélicoptère !