Miley Cyrus s'est prêtée à un exercice difficile samedi dernier, lors de la présentation de l'émisison "Saturday Night Live". Comme Justin Bieber et Lindsay Lohan avant elle, la chanteuse a tenté de plaisanter de ses derniers scandales tout en continuant la promotion de son album en chantant live "We Can't Stop" et "Wrecking Ball". Le résultat ? Une émission toujours aussi énergique, en autodérision et moments sexy.

Pas de mea culpa pour Miley Cyrus, qui l'avoue dans son monologue d'entrée : "Je n'ai pas d'excuses à faire. À la limite, si je dois des excuses à quelqu'un, c'est à ceux qui font le bas des t-shirts", en référence à ses nombreux crop tops. Et effectivement, la chanteuse ne compte pas entamer de retour en arrière et préfère jouer de sa nouvelle image sexy, comme dans la parodie de "We Can't Stop", où la star, coiffée d'une perruque brune, joue Michele Bachmann, membre du Parti républicain. Un clip parodique qui met en scène la paralysie du gouvernement américain depuis plusieurs jours.

Mais Miley Cyrus ne pouvait pas non plus passer à côté de sa performance la plus controversée jusqu'ici : son apparition provocante aux MTV Video Music Awards. Faisant comme si cette danse avait entraîné la destruction de tous les Etats-Unis, les acteurs de SNL montrent la rencontre entre l'ancienne Miley Cyrus (de son époque "Party to the USA") et la nouvelle Miley, toujours en train de tirer la langue dans son body-souris. Un vrai choc des cultures !

La jeune star ne s'est donc pas économisée pour faire partie de l'histoire "Saturday Night Live", mais on ne peut pas s'empêcher de remarquer qu'elle veut continuer à être sexy et provocante : il n'y a qu'à voir ses mouvements de bassin dans la parodie "We Can't Stop" ou son apparition en soutien-gorge dans le sketch de la sex-tape...

Une chose est sûre, "Hannah Montana est morte", comme l'a annoncé elle-même Miley Cyrus sur le plateau de SNL... Paix à son âme.