
L'éternelle robe meringue vous laisse à deux doigts de l'indigestion ? En 2016, la tenue de mariée se fait rebelle et joue la carte de la diversité : essence de style en 15 modèles repérés ici.
Des centaines d'options, des dizaines d'heures passées à scroller jusqu'à la perle rare sur le net... Trouver la bonne robe de mariée reste un véritable challenge pour la future épouse millésime 2016. Dans le même temps, un constat s'impose : malgré la multiplication de propositions, la tendance "mariage" reste somme toute assez classique... Pas facile de sortir des sentiers battus, entre dentelle, coupes décolletées ou tulle meringue.
Hybrides et peu conventionnelles, certaines tenues arrivent pourtant à se démarquer. Question de couleur, hardiesse des formes : ces néo-robes se font une place toute particulière dans le coeur des vraies modeuses.
Le blanc n'est plus obligatoire
Si la robe longue et blanche fait à l'origine référence à la pureté et la virginité pour l'Eglise catholique (et ce depuis le XIXème siècle), elle se voit réinterprétée au fil des années. Des teintes écrues aux coloris carrément plus tranchés allant du rose pastel à l'orange vitaminé en passant par le noir, les jeunes mariées transgressent désormais les "règles". Notre prescription mode et ultra-tendance ? Une coupe simple avec une matière travaillée, agrémentée de broderies. En exergue, les perles, qui donnent un côté très romantique lorsqu'elles habillent un décolleté ou des épaules. Validée également : l'allure bohème avec des fleurs colorées brodées sur le jupon.
La combinaison, alternative cool et moderne
Pour celles qui ne lâcheraient le blanc pour rien au monde, il reste la solution de la combinaison-pantalon. Dans les collections abordables créées par Asos ou Sessun cette année, plusieurs modèles se démarquent avec panache. Fluides, élégantes mais aussi très modernes, ces tenues androgynes-cool forment une alternative qui colle parfaitement à 2016.
L'accessoire qu'on rêve d'y associer ? Une paire de sneakers blanche, pour jouer le décalage à fond.
Pauline Arnal