
Lou Doillon ne tarit pas d'éloges sur sa mère. Celle qui vient de sortitr son deuxième album lui a rendu hommage dans une interview au Progrès, n'hésitant pas à qualifier sa mère de "femme number one".
Lou Doillon n'est pas pas devenue musicienne pour rien : son héritage familial a bien évidemment joué dans son envie de faire des albums. Si sa demi-soeur, Charlotte Gainsbourg, a été initiée à la chanson dès le plus jeune âge avec son père, Serge Gainsbourg, Lou Doillon doit son éducation musicale à leur mère, Jane Birkin. Elle éprouve d'ailleurs pour sa mère une admiration sans borne et un amour inconditionnel. Dans les pages du journal Le Progrès, l'artiste qui vient de sortir son nouvel album, "Lay Low", rend un vibrant hommage à sa mère.
Lou Doillon sur sa mère : "Elle reste ma femme number one"
"C'est quelqu'un qui n'est jamais montée sur scène à la légère. Elle m'a appris l'amour de l'humanité en général. Mon père [le cinéaste Jacques Doillon, ndlr], lui, est plus égoïste. Ma mère est d'une curiosité monumentale, c'est elle qui m'a donné envie de lire, envie d'écrire", explique Lou Doillon. C'est aussi sa mère qui lui a donné envie de chanter, "sans doute parce que j'ai vécu le chant comme un partage. Elle reste ma femme number one m'inspirant tous les jours".
Si Lou Doillon est aujourd'hui en paix avec sa famille, il n'en a pas toujours été ainsi. La chanteuse a longtemps vécu avec un sentiment de rejet, comme elle l'expliquait dans une interview à Elle cet été : "J'ai toujours eu l'impression d'être une intruse, une petite bâtarde qui ne faisait pas partie du cercle royal Gainsbourg/Birkin, ne connaissant pas du tout ce qu'a pu vivre Charlotte".
"La notoriété, on s'en fout un peu"
Elle entretient désormais des relations apaisées avec tous les membres de sa famille, qu'elle considère comme tout à fait normaux. "Ce qui est heureux dans ces familles-là, c'est d'avoir vu des gens s'épanouir toute leur vie. Quand on me dit : 'Quelle chance d'avoir des parents connus', je réponds : 'Non, la notoriété, on s'en fout un peu' ! Quelle chance, oui, d'avoir des parents épanouis, qui ont toujours fait ce qui leur plaisait, et qui ne se sont jamais trop posés de questions de savoir si ça allait plaire ou pas".