Valeria Lukyanova a du souci à se faire. La Barbie vivante qu'on avait pu découvrir en 2012 a de la concurrence. Parmi les prétendantes au titre de sosie le plus ressemblant, une jeune Ukrainienne, Lolita Richi (un nom pas très ukrainien, mais passons).

A à peine 16 ans, l'adolescente joue les mannequins sur son profil Facebook, multipliant les looks et perruques (de sa mère, actrice). Un tour de taille de seulement 50 centimètres, un bonnet F et un visage au teint cristallin, la jeune fille a l'air tout sauf réelle. Alors que certaines bataillent encore avec des problèmes de peau, elle affiche un grain aussi lisse que... on ne saurait dire, tant cela n'a pas l'air humain.

Mais Lolita Richi est formelle : tout est naturel. Sa taille de guêpe ? Elle la doit à "son incroyable silhouette", qui lui permet de ne pas faire de régime. "Mes gros seins sont naturels". Tout juste confesse-t-elle avoir recours à des push-up pour doper ses décolletés.

Et côté chevilles ? Elles sont dodues. "Je suis la vamp ultime. Les gens me disent ouvertement qu'ils sont jaloux et combien je suis belle. Tous les garçons de mon école me draguent, mais aucun ne m'intéresse. Ils ne sont pas mon goût."

Sans doute devrait-elle se tourner vers Justin Jedlica ou Celso Santebanes, des Ken plus vrais que nature (mais très plastifiés) pour trouver l'amour. D'ici là, c'est sa mère, très fière, qui prend sa fille en photos dans des tenues qu'on préférait ne pas voir sur une adolescente de 16 ans.

Mais le pire est sans doute sa vision de beauté, un brin... restreinte. "Si une fille n'a pas de beaux yeux, alors elle devrait porter des lentilles. Si elle a un nez crochu, elle doit faire quelque chose, que ce soit de la chirurgie esthétique ou autre."

Son secret espoir : devenir connue grâce à son corps. On ne doute pas qu'elle obtiendra une certaine célébrité...