
Ah, la lingerie. On en porte tous les jours mais ce n'est pas pour cela que l'histoire d'amour est au beau fixe. Parce qu'elle peut nous mener la vie dure. Depuis peu, on a retrouvé le sourire. Le doux nom de notre crush ? La lingerie invisible.
Ado, on n'avait qu'une hâte : avoir assez de seins pour devoir acheter notre premier soutien-gorge. Depuis, on en a eu mille et on a découvert tous ses défauts. Il sert et nous fait un bourrelet dans le dos, nous laisse des marques sous les seins, nous étouffe. Et sa copine la culotte nous saoule, elle aussi, avec son élastique qui nous donne l'allure d'un muffin ou l'impression d'avoir quatre fesses. Ça va pour le glamour ?
Le truc, c'est que si à la maison on peut faire son outing est vivre sans soutif, dans la rue et au bureau, c'est plus rude. Et impossible de vivre sans culotte. Alors, que fait-on ? On se résigne à subir une lingerie qui nous étrangle et nous maltraite (oui, on a essayé de prendre une taille au-dessus, mais ça ne règle pas toujours le problème). A la place, on a testé une variante qui nous a réjoui et totalement conquis : la lingerie invisible.
0 élastique, 100% confort
L'idée : une lingerie sans couture, armature ni élastique. Des découpes au laser. Une matière extensible mais qui tient bien en place. Bref, le bonheur. On peut vous dire qu'une fois enfilée, la culotte invisible devient un indispensable et qu'il est difficile de faire marche arrière. Parce qu'elle fait son job sans se faire remarquer, ne déforme rien et ne fait que sublimer l'existant. On l'aime.
Parmi les modèles testés et adoptés, on trouve la gamme Soft Stretch de Chantelle (dont le body a déjà fait des émules au sein de la rédaction). Mais beaucoup d'autres marques ont développé le concept et ce pour tous les budgets : Intimissimi, Dim, Undiz...

Chez Chantelle, le modèle est à format unique et s'adapte à nos formes. Si toutefois vous optez pour une version avec taille, faites le bon choix et n'hésitez pas à prendre la taille au-dessus au besoin. Le confort, ça change tout et on le mérite bien.
C.B.