
Vanity Fair fait le portrait de Lily-Rose Depp dans son numéro de mai 2016. L'enfant star qui, du haut de ses 16 ans, fascine le public se prête à la confidence et se dévoile naturelle face à l'objectif.
Lily-Rose Depp est le phénomène du moment. Attendue au Festival de Cannes 2016, les yeux sont plus que jamais braqués sur la fille de Vanessa Paradis et Johnny Depp. C'est d'ailleurs Vanity Fair France qui fait de la jeune fille de 16 ans sa cover girl printanière et boudeuse. La jolie blonde au visage de poupée qui se fait muse de nombreux photographes a également posé face à l'objectif pour le magazine dans les rues de Paris.
Lily-Rose Depp, la poupée rock de Vanity Fair
Après les confidences sur ses rêves d'actrice et sur une notoriété parfois lourde à porter quand on a que 16 ans, Lily-Rose dévoile un extrait d'un shooting réalisé pour Vanity Fair. On y découvre la belle blonde dans les rues de Paris dans deux clichés, en couleur puis en noir et blanc. La jeune fille dévoile son style déjanté arborant un sweat à têtes de chat et pantalon en toile imprimé léopard.
Un style légèrement inspiré 90's que Lily-Rose maîtrise à la perfection. Minois au naturel et cheveux coiffés-décoiffés, la belle blonde affiche ses pommettes hautes et son air boudeur, le tout dans le cadre sordide des rues sales de Paris. Des clichés détonants à l'image de la personnalité de cette enfant star.
"Je remercie mes parents d'avoir préservé mon enfance"
Dans l'interview donnée au magazine, elle se confie sur la manière dont ses parents ont protégé son enfance. "Je remercie mes parents d'avoir préservé mon enfance", déclare-t-elle, "J'étais en backstage sur les concerts de ma mère et sur ses films, comme sur ceux de mon père. Enfant, je voulais être mannequin ou chanteuse". Pourtant c'est bien l'amour du cinéma qui l'emporte. "Ma mère m'a fait une liste des classiques à voir", se souvient-elle.
De son côté, son père la fait jouer à ses côtés dans "Tusk", en 2014, une véritable révélation pour Lily-Rose. "C'est là que j'ai vraiment pris goût au cinéma", confie-elle, "J'ai adoré rentrer dans la peau d'un personnage, je m'amusais. Ça vibrait à l'intérieur de moi". A l'affiche de "La danseuse" de Stéphanie Di Giusto qui sera présenté dans la section "Un certain regard" au festival de Cannes 2016, elle est prête à se lancer en solo, comme une grande.