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Laurent Ruquier, son "complexe d'infériorité", les confidences d'une Grosse Tête

Il a beau faire partie des hommes les plus bankables du PAF, Laurent Ruquier n'en a pas fini avec ses complexes. Interviewé par L'Express, le nouveau big boss des "Grosses Têtes" depuis le 25 août 2014 révèle des blessures jusque-là bien enfouies. 

Lorsque l'on pense à Laurent Ruquier, on visualise généralement ce type à lunettes enchaînant les cartons, toujours très entouré, gloussant comme une boîte à rire à peu près toutes les 3 minutes. Mais lorsque l'on lit le portrait de l'animateur dans L'Express ce 27 août 2014, on revoit quelque peu notre copie.

Car si en apparence l'héritier de Philippe Bouvard qui a repris les rênes des "Grosses Têtes" ce 25 août dernier, apparaît sûr de lui, on apprend qu'il n'en est pas moins un homme aux complexes tenaces. Il l'avoue, lui qui a subi un relooking extrême ces dernières années grâce à sa montée en puissance, il n'oublie pas d'où il vient. Celui qui a grandi dans un HLM du Havre avec un père ouvrier, une mère femme au foyer et quatre autres frères et soeurs ne le cache pas, de son enfance modeste il garde un certain "complexe de classe, d'infériorité".

Dans l'interview, il se décrit comme un gamin "maladivement timide, bouboule, complexé" ne pensant qu'à une chose, tuer le temps en reproduisant des émissions de radio. Car malgré la reconnaissance, il avoue être régulièrement rattrapé par son complexe d'infériorité. Animateur dans sa chambre avant de devenir l'incontournable joker de RTL, le meilleur ennemi de Cyril Hanouna n'oublie pas son passé modeste, ni le travail qu'il a dû fournir pour trouver sa place.

Un sentiment d'infériorité toujours présent chez l'animateur, mais aussi une source de motivation qui le pousse à se dépasser. Lorsqu'on lui demande pourquoi il a accepté "Les Grosses Têtes", il répond : "Ce métier est amusant si on se donne des défis". Ce qui, chez certain, aurait pu servir de frein ou d'obstacle insurmontable est devenu, pour Laurent Ruquier, une formidable base sur laquelle il a travaillé pour progresser et aller de l'avant. De son "handicap", il aafait une chance qui lui permet d'occuper la place qui est la sienne aujourd'hui.

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