Mercredi 2 juillet 2014, Kate Middleton et le Prince William sont venus comme il se doit, soutenir le tenant du titre Andy Murray à Wimbledon. Sublime dans sa robe blanche signée Zimmermann, Kate a pourtant vécu une belle désillusion depuis les gradins. Alors que toutes les conditions étaient réunies pour faire de l'écossais la star du match, le bulgare Grigor Dimitrov l'a finalement sèchement battu. Personne ne s'y attendait, pourtant le nouveau protégé d'Amélie Mauresmo a subi une cinglante défait en trois set à l'occasion de quart de finale.

Une très mauvaise nouvelle pour le peuple britannique qui comptait dur comme fer sur un doublé du champion. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette déception nationale était très lisible sur le visage de la duchesse de Cambridge. Toujours aussi naturelle, la maman du petit George n'a pas hésité à afficher sa surprise à chacun des faux pas d'Andy. Il faut dire que le petit ami de la très sexy Maria Sharapova n'a pas ménagé ses efforts pour battre le grand favori du tournoi. 6-1, 7-6, 6-2, le score est difficile à avaler pour l'écossais qui devance tout de même de neuf places le bulgare au classement ATP.

On comprend que Kate n'ai pas pu résister à l'envie de faire des grimaces pendant presque toute la partie. Bouche tordue, respiration coupée, on avait presque l'impression que la femme du Prince William jouait sa vie sur le court, hilarant ! D'ailleurs, Kate a beau contorsionner son visage dans tous les sens, elle n'en reste pas moins canon. Le 26 juin dernier, une étude commandée par un groupe de médecins en Californie démontre même que la majorité des femmes américaines âgées de 18 à 25 ans, serait prêtes à tout pour avoir le même nez que la soeur de Pippa. En Angleterre le constat est encore plus marqué, puisqu'en 2012 les chirurgiens plastique du pays ont affirmé que le nez de Kate était de loin le plus demandé par les patientes candidates à la rhinoplastie.

Kate peut donc continuer à grimacer tant qu'elle veut, elle n'en restera pas moins l'exemple à suivre.