Ne demandez pas à Jerry Hall si elle a déjà eu recours au Botox, elle vous enverra valser. A 58 ans, l'ex de Mick Jagger trouve la chirurgie esthétique "pathétique" et elle est triste pour celles qui y ont recours. Certaines vont en prendre pour leur grade...
Mannequin adulé, muse de l'illustrateur de mode Antonio Lopez, ex-femme de Mick Jagger, dont elle a eu quatre enfants... Jerry Hall a marqué son temps. Et à 58 ans, l'Américaine n'a pas sa langue dans sa poche. Contrairement à ces stars dont les principes vacillent et qui s'offrent un petit lifting (pour le meilleur comme pour le pire), la mère de Georgia May Jagger y est fermement opposée.
Interviewée par le magazine Hello !, elle dit être consciente que son visage et son corps "ont été des outils pour sa carrière" et explique "essayer de les entretenir du mieux qu'elle peut." Pour cela, elle pratique le yoga, fait attention à ce qu'elle mange et file à la piscine dès qu'elle le peut. La chirurgie esthétique, elle s'en passe très bien, merci.
"C'est tellement idiot de risquer sa vie avec la chirurgie esthétique. A chaque fois que vous avez recours à l'anesthésie, vous détruisez des neurones. Pourquoi faire ça ? Vous pouvez attraper des infections, vous pouvez mourir." Un brin hypocondriaque, Jerry Hall a d'autres arguments contre le bistouri.
"Pourquoi se transformer en grotesque caricature de soi-même ?" Et il est vrai qu'à voir le résultat sur certaines, on se dit qu'il vaut mieux y réfléchir à deux fois.
Des créatures "pathétiques et mal dans leur peau"
Jerry Hall prend soin de distinguer les actrices hollywoodiennes, à ses yeux obligées de passer sur le billard à cause de la pression, et les autres, les femmes "normales". "Elles ne trompent personne. Ce sont des créatures pathétiques et mal dans leur peau (...). Si les hommes veulent quitter leur femme pour une jeunette de dix-neuf ans, ils le feront dans tous les cas. Tous les liftings et le Botox de la Terre ne changeront pas ce gars-là, vous savez."
En tant qu'ex-compagne de Mick Jagger, elle sait de quoi elle parle. Du père de ses enfants, elle loue l'intelligence et l'humour, "mais ce n'est pas le genre de personne avec qui je veux vieillir", dit-elle. Et c'est au bras d'un scientifique nettement moins rock'n'roll, Armand Leroi, qu'elle semble avoir retrouvé le bonheur.
