Si de nos jours "filles et fils de" arrivent à se faire un prénom dès le plus jeune âge, prenez Willow Smith sacrée égérie Chanel à 15 ans par exemple, il aura fallu à James Jagger trente printemps avant de sortir de l'ombre de son géniteur. 21 ans après Mick Jagger et ses comparses des Rolling Stones, c'est à son tour de venir gracier la couverture de Vogue Hommes pour l'édition Printemps-Été 2016 disponible dès le 18 mars. Il prend ainsi la pose pour Bruce Weber, l'air renfrogné et stetson bien en place sur son étalon, clin d'oeil peut-être à sa mère Jerry Hall, originaire du Texas.

James Jagger, héros rock'n'roll de 2016 ?

Fils d'une rock star et d'un top model, il s'est fait relativement discret pendant son enfance puis son adolescence, même si le jeune homme est né sous une bonne étoile. Membre d'un groupe underground (Turbogiest) et de la jeunesse dorée londonienne composée aussi des Dellal et des Geldof, il n'a jamais vraiment fait trop de vague. Même si le monde de la mode lui faisait cependant déjà les yeux doux - on l'a déjà vu prendre la pose pour Hilfiger et Burberry - 2016 marque un véritable tournant dans sa carrière. Une annéeclé pour le jeune homme, celle où il assume enfin son nom de famille et son héritage.

Incarnation de l'image "sex, drugs & rock'n'roll" des 70's dans "Vinyl", la série sensation signée Mick Jagger et Martin Scorsese, il a tout pour devenir celui que les maisons s'arrachent, d'autant plus qu'il partage avec son géniteur cette même bouche "ourlée comme le canapé Bocca de Dali" selon les termes d'Olivier Lalanne pour Vogue Hommes. En revanche, désolé pour ceux et celles que le charisme et le sex-appeal de l'acteur ne laisseraient pas insensible, il a récemment fait la manchette pour son mariage surprise et surtout secret avec sa petite amie de longue date Anushka Sharma.