
Le terrible drame de la perte de Jade, la fille d'Ingrid Chauvin et Thierry Peythieu émeut toujours autant. Dans une interview donnée à Femme Actuelle, la comédienne a confié avoir lancé une procédure d'adoption, un an presque après le décès de leur fille.
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Chaque intervention d'Ingrid Chauvin est toujours un moment d'émotion. Ses nouvelles confidences à Femme Actuelle n'y échappent pas. On se souvient encore de son interview très émouvante pour l'émission "7 à 8". Depuis, la comédienne est revenue sur le petit écran et a répété à de nombreuses reprises se sentir encore maman. Une envie qu'elle réaffirme une nouvelle fois, tout en racontant toute l'aide que son mari lui a apporté et se confiant sur la rédaction de son livre.
Ingrid Chauvin, une procédure d'adoption : "Nous ne savons pas ce qu'il adviendra"
En janvier 2015, Ingrid Chauvin confiait qu'elle et son mari, Thierry Peythieu, avaient entrepris une procédure d'adoption. A Femme Actuelle, la comédienne fait part de ses doutes quant à cette tentative. "L'adoption est un parcours long et périlleux qui n'aboutit pas forcément", a-t-elle déclaré. Ajouter qu'il y a peu "d'enfants adoptables". Et elle est bien consciente que l'attente sera longue et que la partie est loin d'être gagnée. "Comme des milliers de parents potentiels, nous ne savons pas ce qu'il adviendra", a-t-elle confié. Presqu'un an après que le couple ait perdu leur petite fille de cinq mois, Jade, Ingrid Chauvin et Thierry Peythieu tournent leurs regards vers l'avenir. Tandis que son livre "A coeur ouvert" paraitra ce jeudi 12 mars 2015, la comédienne de 41 ans a confié à Télé 7 Jours : "Cela a été très éprouvant de faire ce livre. Je l'ai écrit, parfois, avec mes larmes. Mais j'en avais besoin. J'étais enfermée avec cette indicible douleur et l'écriture m'a aidée à l'apaiser".
"Je voulais rejoindre Jade"
Pour le JDD, Ingrid Chauvin a accepté de revenir sur son deuil. Alors qu'elle avait déjà évoqué l'envie de mourir qui l'avait parfois traversé, pour le Journal Du Dimanche ses confidences sont toujours aussi dures. "Si j'avais été convaincue de pouvoir la rejoindre, je l'aurais fait", a-t-elle avoué, "J'ai d'ailleurs douté. C'est là que j'ai ressenti le regard de mon mari. Il semblait me dire : non, ne fais pas ça, pense à tout ce qui nous a uni, à ce que nous avons déjà traversé. C'est lui qui m'a sortie de ça". Comme l'écriture fut son exutoire indispensable, son mari est devenu son pilier. "Cette douleur m'est trop personnelle pour la livrer à une personne étrangère. Il me semblait plus facile d'échanger avec mes proches. Mon mari reste mon meilleur psy", a-t-elle confié au JDD.