
Gigi Hadid est le top du moment. Jugée une fois de trop sur son physique, la belle explose cette fois et répond à ses détracteurs dans un long commentaire sur Instagram. Et elle fait le buzz sur la Toile...
Gigi Hadid en a marre de se faire critiquer sur son poids et le fait savoir à travers des commentaires en réponse à ses détracteurs sous certaines de ses photos. Si la belle fait partie des tops en "vogue" aux côtés de sa meilleure amie Kendall Jenner et de sa petite soeur Bella, elle reste néanmoins la cible de nombreux haters sur les réseaux sociaux. Elle dit de nouveau stop au body shaming !
Gigi Hadid explose et répond !
Jugée une fois de plus trop maigre sur des photos de campagnes, la reine du street style répond aux attaques et s'exprime une bonne fois pour toute sous une de ses photos : "Cela s'appelle grandir. Quand les filles deviennent des femmes, le corps change, tout comme le corps de ma mère a changé au même âge. Être jugée sur mon poids par une femme d'un certain âge montre à quel point les humains tendent à faire des jugements inadéquats. J'aimais mon corps d'athlète de 17 ans et j'aime mon corps d'aujourd'hui."
"Oui, j'ai perdu un peu de 'gras de bébé'. Ma masse musculaire, qui provenait de mes entraînements intensifs de volley-ball au lycée, a changé au cours des années pour se transformer en muscles secs dus à la boxe. Et le stress causé par le travail peut aussi avoir des effets naturels, mais changer mon corps délibérément n'a jamais été mon but. Je mange toujours ce que je veux, je suis toujours forte et en bonne santé. Ton commentaire ne va pas me rabaisser, mais la prochaine fois, s'il te plaît, réfléchis et pense aux jeunes femmes qui pourraient lire ce genre de commentaire qui juge le corps et qui vont se juger par la suite quand elles verront leurs corps grandir et changer naturellement aussi" continue-t-elle.
Une prise de parole risquée qui prouve une fois de plus que Gigi Hadid n'est pas un mannequin comme les autres en ne gardant finalement pas sa langue dans la poche contre les attaques répétées par les internautes.
WJ