La marque de la créatrice australienne a fait ses premiers pas lors de la semaine de la Couture à Paris. Un show parfait jusqu'à la pointe des cheveux des mannequins.
"Je veux faire des vêtements pour des femmes qui s'habillent pour elles-mêmes et pour personne d'autre." explique Kym Ellery, la créatrice de la marque. Volumes assumés, brillance, créativité au niveau des coupes et des matières... le défilé a tenu toutes ses promesses au coeur des Beaux-Arts de Paris. Et ce que l'on adore, ce sont les multiples détails qui font le look. Les accessoires sont tous parfaitement pensés : les bijoux sublimes, les chaussures cuissardes ou escarpins pointus... l'ensemble est exceptionnel. L'ex rédactrice qui avait déjà fait ses preuves sur le prêt-à-porter français depuis 2015 frappe un grand coup avec ce nouveau show. "J'ai voulu créer des tenues de soirée que j'aimerais porter et qui sont davantage ciblées sur une femme moderne." a t-elle confié au micro de Fashion Network. Mission 100% réussie !
L'élégance jusqu'au bout des pointes
Pour ce show, Puretrend a eu l'occasion d'aller en backstages avec Wella afin de suivre la préparation des mannequins. Eugene Souleiman, le coiffeur de la marque, nous a expliqué l'inspiration de ce beauty look très visuel : "Pour moi la collection ce n'est pas du prêt-à-porter, ce n'est pas de la couture... c'est quelque chose entre les deux. C'est ce que j'ai voulu retranscrire sur les cheveux. Une matière travaillée avec précision mais un rendu que toutes les femmes puissent imaginer faire elles-mêmes". La coiffure en question, un lissage délicat avec une mèche qui passe devant l'oreille, et une brillance à la base du front rendue possible par l'application d'un spray coiffant Wella "qui sèche deux fois plus vite que du gel classique" selon Eugene.
Les mannequins étaient alors tout à fait prêtes pour recevoir le maquillage délicat de Val Garland avec L'Oreal Paris. Une touche d'highlighter plus tard, elles se sont transformées en fantasme de chic et d'élégance. Vivement le prochain show de l'australienne.
Pauline Arnal