
Dans le dernier "Captain America", Elizabeth Olsen incarne une sorcière au visage d'ange. Sur le tapis rouge, avec des looks toujours plus pointus, la star a aussi le pouvoir magique de nous éblouir.
Petite dernière de la fratrie Olsen, Elizabeth avait tout à prouver. En un quart de siècle, Mary-Kate et Ashley, ses deux soeurs jumelles sont passées du statut de stars de la télé en babygro à celui de duo de créatrices ultra respectées. Pour espérer être un jour à la hauteur, la jolie cadette a vite compris que les talons hauts ne suffiraient pas. Grandir dans l'ombre des jumelles n'étant pas une option, elle va se faire remarquer autrement.
D'abord abonnée aux films indés, la jeune actrice fait réellement parler d'elle en 2014 lorsqu'elle est annoncée au casting du remake de "Godzilla". Elizabeth Olsen apparaît alors sur le tapis rouge et se révèle être une concurrente redoutable pour ses fashion sistas. Cette année, pour la deuxième fois à l'affiche d'un film d'"Avengers", la jeune Californienne de 27 ans renoue avec la tournée promotionnelle et son éternel défilé de looks (tous très pointus). Les modeuses sont sous le charme.
Le charme naturel d'Elizabeth Olsen
Elizabeth Olsen virevolte, explose de rire, danse dans ses robes couture... Sur le tapis rouge, on ne voit qu'elle. Et c'est sans doute ce qui a convaincu Miu Miu de l'inscrire en 2014 à la liste de ses beautés-égéries aux côtés de Léa Seydoux ou encore Elle Fanning. Ce charme fou et naturel, c'est ce qui fait la différence. Si elle sublime chaque vêtement, si son dressing nous paraît irréprochable, c'est simplement parce qu'elle est solaire. Les regards sont tous braqués sur elle (et donc sur ses robes), une aubaine pour les créateurs. Ses deux soeurs souvent critiquées pour leur austérité sur le red carpet devraient peut être réfléchir à la possibilité de la choisir comme égérie de leur marque The Row. En attendant, on s'impatiente de la découvrir dans son prochain film et forcément... sur le tapis rouge !
"Captain America, Civil War" actuellement au cinéma.
Pauline Arnal