L'effet le plus flagrant de la course à pied sur le cerveau est la libération d'endorphine, cette substance très souvent appelée hormone du bien-être, voire du bonheur (rien que ça !). C'est grâce à elle si après avoir fait un effort physique, on se sent physiquement et moralement apaisé. L'endorphine joue également un rôle sur notre cerveau. Courir dans de bonnes conditions, au calme et au vert, serait comparable à une séance de méditation en ce qui concerne les effets sur notre cerveau ! Une bonne raison d'aller courir en plein air.

Grâce à tous les tests réalisés pour étudier l'effet du running sur le cerveau, les chercheurs se sont également rendu compte que la course à pied était vraisemblablement un bon moyen de lutter contre le vieillissement de notre intellect. Les coureurs d'une cinquantaine d'années ont eu de bien meilleurs résultats que les non sportifs du même âge lors des tests de mémoires et de concentration.

En outre, la course à pied aurait également un excellent effet sur la croissance de nos cellules cérébrales. Les vaisseaux sanguins et les nerfs sont stimulés par l'effort d'une séance de running. Une histoire d'afflux sanguin qui permet également de mieux stocker l'énergie dans notre cerveau. Qui dit plus d'énergie dit forcément meilleures performances. Et de la même manière que les muscles deviennent plus résistants et plus puissants avec l'entraînement, le cerveau améliore ses capacités cognitives en étant stimulé par un effort physique.

Avec tous ces bienfaits, plus personne ne devrait encore être réticents à l'idée de se mettre au running. Envie de se lancer ? Voici les 10 commandements de la joggeuse en herbe. Pour commencer la course à pied intelligemment et pour de bon !

AW