On n'y aurait pas pensé et pourtant, d'après nos confrères de L'Express, il semblerait que Carla Bruni échappe à la crise qui envahit la France ces dernières années. Depuis 2012, si son mari s'est retiré plus ou moins de la scène politique, l'ex Première dame fait, elle, son grand retour sur la scène musicale avec un dernier opus intitulé " Little French Songs" et enchaîne les "contrats en or" ...

Célèbre chanteuse, Carla est avant tout une réelle femme d'affaires et depuis son départ de l'Elysée, elle a bien mené sa barque. Le premier contrat lui a été proposé par Barclay, qui appartient à la major Universal Music et pour la coquette somme de 1,069 millions d'euros. Après trois disques chez Naïve, la chanteuse franco-italienne n'a donc pas hésité à changer de maison de production. "Pour toucher ce cachet, Carla Bruni-Sarkozy est redevenue cogérante de sa société d'édition musicale Teorema (...) Elle avait démissionné de ce poste en 2008 à son arrivée à l'Elysée", explique le magazine. Même si la vente de son dernier disque n'atteint pas les chiffres de son précédent album "Quelqu'un qui m'a dit", la petite entreprise de Carla a tout de même enregistré 392 000 euros de bénéfices. Un nouvel opus prévu pour 2015 devrait faire augmenter ce chiffre en plus des titres qu'elle vient de signer pour Julien Clerc et Christophe Willem.

Ex-mannequin et ex-Première dame, les marques se battent bien évidemment pour l'avoir. Ainsi depuis 2013, c'est grâce à la mode que Carla a gagné son meilleur contrat puisqu'elle est l'égérie de la marque de luxe italienne du groupe LVMH, Bulgari, pour 2,15 millions d'euros. Avec cet argent, la quadragénaire a créé une société qui porte le même nom que le château familial dans le Piémont cédé en 2009, Castagneto, qui a pour objet d'exploiter à titre exclusif "l'image, la voix, le nom et, plus généralement, les droits de la personnalité de Madame Carla Bruni [notamment] dans le domaine du mannequinat". Une entreprise qui a déjà enregistré des bénéfices de 1,098 million d'euros.

Conclusion : Carla, elle ne rigole pas avec les affaires ! La question est donc de savoir si le possible retour de son époux, Nicolas Sarkozy, en politique ferait de l'ombre à sa carrière...