Véritable cauchemar pour les unes, accessoire stylé pour les autres, une chose est sûre : la basket compensée ne laisse pas indifférent. Cette chaussure haut perchée se décline chez toutes les marques et dans tous les styles. Mais peut-on vraiment la porter ?
On le sait, la mode est capable du meilleur comme du pire. Et nos pieds sont souvent au centre de toutes les attentions avec des chaussures pas toujours faciles à porter. Si la tendance actuelle est à la chaussure-chaussette (en tout cas, c'est ce qu'on essaye de nous faire porter), on n'en oublie pas un accessoire qui a fait des remous chez les fashionistas : la basket compensée.
Huées par certains qui ne comprennent pas pourquoi le confort offert par une paire de basket doit être ruiné par des talons, les baskets compensées ont pourtant eu droit à leur interprétation sur les podiums, comme chez Isabel Marant. Et encore aujourd'hui, ce modèle atypique est disponible chez de nombreuses marques.
La basket compensée au fil des tendances
Basket compensée rose pastel, métallique, à strass, en velours... C'est peu de dire que les baskets compensées savent se décliner. Comme pour nous convaincre qu'elles peuvent s'inviter dans nos looks au quotidien, les marques (de Lacoste à Michael Kors en passant par New Look et Guess) s'amusent à leur faire porter toutes les parures. Avec succès ?
La basket compensée sportswear
Fidèle à ses origines, ce modèle pas comme les autres se retrouve chez les marques phares, de Puma à Adidas, sans oublier Le Coq Sportif. Chacune y va de sa version de la basket compensée. Au point de faire de l'ombre aux modèles stars du moment comme la Puma Heart ou la Gazelle ? Pas sûr....
La basket plateforme, l'alternative plus safe
Si la basket compensée peut sembler un peu risquée à porter sans faire de flop, on peut tout à fait se reporter sur sa cousine, la basket plateforme. Avec sa semelle compensée et uniforme, elle offre un look plus moderne et facile à porter au quotidien. Nos sneakers plateforme préférées ? A shopper chez Vans, Asos ou Adidas.