
Il faudrait vivre dans une grotte pour ne pas avoir entendu parler du scandale qui gronde dernièrement. On parle bien sûr des rumeurs entre le Président François Hollande et l'actrice Julie Gayet. Tout le monde y va de son commentaire et cette fois c'est Audrey Pulvar qui attaque fort dans un entretien avec le journal France-Antilles !
Elle n'est pas connue pour avoir la langue dans sa poche. Audrey Pulvar ne s'est pas privée de commenter l'attitude du Président de la République envers Valérie Trierweiler et le concept de vie privée. Il faut dire que l'animatrice n'est pas étrangère à ce genre de situation quand on sait que la politique a brisé son couple. Mais quand la journaliste exprime son ressenti sur les rumeurs qui voudraient que François Hollande et Julie Gayet aient une liaison et elle ne mâche pas ses mots.
La phrase d'Audrey Pulvar sonne comme une leçon alors qu'elle aborde le concept de vie privée lorsqu'on est un personnage public. Et par la même occasion, la journaliste commente les rumeurs François Hollande/Julie Gayet. "Si un président ou un ministre s'attend à ce que personne ne la viole, c'est qu'il vit au pays de Oui-Oui.", dit-elle en parlant de la vie privée. La phrase est cinglante et sans appel.
Sans aucun doute influencée par sa propre expérience, celle qui forme un duo de choc avec Laurence Ferrari se range du côté de Valérie Trierweiler, récemment sortie de l'hôpital et touchée par les messages de soutien. Solidarité féminine oblige, Audrey Pulvar déclare : "Cette affaire est sans doute horripilante pour François Hollande mais elle doit surtout représenter un choc extrêmement violent pour Valérie Trierweiler. Et c'est certainement aussi très désagréable pour Julie Gayet." Forte de sa notoriété, la journaliste semble envoyer un message directement adressé au Président François Hollande : "Face à cela, soit il (ndlr: un président ou un ministre) prend les mesures nécessaires pour ne pas se faire attraper au petit matin, soit il en subit les conséquences. Mais il est clair qu'aujourd'hui, à ce niveau de notoriété, on ne peut pas totalement séparer vie privée et vie publique."
Celle qui a connu les insultes et les critiques chez Ruquier continue en disant : "on ne peut pas s'afficher avec sa femme, comme François Hollande avec Ségolène Royal qui venait d'accoucher ou lorsqu'il a accepté de poser avec Valérie Trierweiler, et s'insurger ensuite parce que des photos volées révèlent l'existence d'une maîtresse. Ou alors il faut carrément réfléchir à l'interdiction de la presse people. Mais ça, c'est une autre histoire." Ainsi la journaliste entre directement dans le débat, faisant preuve de franchise et lucidité. On en attendait pas moins de la journaliste qui avoue quand même que "vivre au quotidien avec des paparazzis, c'est très désagréable. C'est un viol d'intimité permanent."